1/72 FSC-Dujin Centrair C-101 Pégase

Pendant que le FJ-2 sèche, je vais me lancer dans quelque chose qui sera une grande nouveauté pour moi: Un montage de kit en résine.
Pour ça j'ai choisi ce que j'avais de plus simple en stock, le C-101 de FSC-Dujin




Le moulage n'a pas de bulles, un peu de ponçage sera nécessaire aux lignes de joints entre les parties de moules...
Le plus délicat sera sans nul doute le découpage de la verrière en vacform (encore une première pour moi!) et l'alignement correct de l'ensemble dérive/plan fixe sur le fuselage.

Le plus long sur ce kit, c'est de bien préparer les surfaces.
J'ai donc longuement mais légèrement poncé un peu partout, mais surtout sur le fuselage car il y a un léger décalage entre les deux moitiés du moule.
On voit sur la photo la fine ligne de mastic qui reste après le ponçage.

L'assemblage de la dérive est sportif -la surface de collage est ridiculement fine donc pas moyen de percer pour renforcer. Donc cyano et patience...
Enfin l'aile a été posée, là pas mal de mastic est nécessaire aussi bien dessous que dessus.

Quand tout ça sera sec un petit coup de coton humide enlèvera le surplus...

Résine, connais pas.

Je vais suivre ton montage avec attention.

Bon ben un peu plus de 2 ans plus tard...

J'ai ressorti le kit de son étagère pour enfin le terminer!
Ce qui m'a bloqué à l'époque, c'était la verrière en thermoformé. Même fournie en 2 exemplaires, ses limites ne sont pas très visibles et je n'osais pas me lancer dans le découpage.
Avoir monté le Mirage IIIC HiTech et en particulier sa verrère m'a "déclenché le truc", et du coup je me suis lancé...
Entre temps je m'étais tout de même occupé du cockpit -c'est pas bien gros sur un planeur, en plus à cette échelle!- et surtout de positionner les sangles fournies en photodécoupe.
Finalement le plus compliqué a été (après avoir travaillé douuuuuucement l'ajustement) de réussir à fixer la pièce transparente au fuselage - il y a bien un léger rebord mais ça fait pas bézef pour le collage... Enfin avec la Kirstal Klear on finit par s'en sortir.

L'empennage a été encore une saga - les collages sur chant ne sont pas faciles, l'équerrage requiert de ne pas trembler et la faible surface d ela zone de collage a conduit à de multiples décollements / recollements...
... m'enfin on finit tout de même à arriver au masquage...

... puis à la peinture et à la pose des décals.

Ces derniers font preuve d'une certaine réticence à quitter leur support, il faut vraiment leur laisser le temps!

Mais ça y est, c'est fini!